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En fait, c'est une tendance normale bien connue, et qui ne
fait que donner plus d'importance à la nécessité de dénouer
la situation de Vincennes en l'associant au problème de
l'ensemble des universités parisiennes.

         Il est cependant une demande sur laquelle le
groupe a eu son attention attirée, celle concernant le
département de sexologie. Certes, le Ministère de l'Edu-
cation souhaite à la fois former des maîtres au problème
de l'éducation sexuelle, et promouvoir recherches et réfle-
xions.

          D'autre part, les parents et les éducateurs sont
de plus en plus confrontés au besoin de savoir quoi apprendre
à leurs enfants, et comment le faire. Cela dit, le groupe
estime d'une part que la meilleure solution n'est pas la
création d'une "UER" et que, d'autre part, précisément parce
qu'il y a un besoin important et que Vincennes ne peut pas
accroître indéfiniment le nombre de ses étudiants, il est
préférable de faire traiter le problème ailleurs, même si
Vincennes a déjà des enseignants ayant réfléchi à la sexologie.